Le putting est souvent négligé, alors qu’il représente près de 40% des coups sur un parcours. Pour performer sur les greens, le choix du bon putter est crucial. Et cela dépend en grande partie de votre arc de swing, c’est-à-dire la trajectoire que suit votre tête de putter pendant le mouvement.
Mais saviez-vous que la forme de la tête du putter et le type de hosel (col) doivent être adaptés à votre mouvement naturel ? Voici un guide simple pour s’y retrouver, avec des exemples concrets chez TaylorMade, marque de référence sur le marché.
1. Comprendre son arc de putting
Il existe 3 grands types d’arc :
Arc fort
Mouvement en demi-cercle : la tête du putter s’éloigne de la ligne au backswing et revient en arc au travers.
Souvent observé chez les joueuses avec une posture plus courbée ou un stance fermé.
Arc léger
Mouvement légèrement arrondi, assez fluide mais plus neutre.
Le plus courant chez les golfeuses amateures.
Stroke droit / ligne droite
Mouvement très rectiligne, vers l’arrière et l’avant.
Fréquent chez celles qui utilisent une posture très carrée et un grip pendulaire.
2. Les formes de putters et le type de hosel (le point de fixation liant la tête de club au manche)
Toe hang (toe balanced) = pour les arcs marqués
Face balanced = pour les swings droits
Blade putters – Pour les arcs marqués ou légers
Forme classique, fine, très précise
Idéal pour les joueuses qui ouvrent/ferment légèrement la face
Mallet putters – Pour les arcs légers à droits
Forme plus massive et tolérante
Meilleur équilibre sur les putts courts ou pression
3. Ce qu’il faut retenir
Si tu as un stroke droit, oriente-toi vers le Kalea Spider Mini (mallet)
Si tu as un arc léger, les Truss ou certains TP Hydroblast Kalea peuvent convenir (mix blade et mallet).
Si tu as un arc prononcé, il vaut mieux envisager de passer sur les modèles TP Soto, TP Juno, ou Spider X avec slant hosel, même s’ils ne sont pas dans la gamme Kalea. Le grip et le shaft peuvent être ajustés pour s’adapter à ta morphologie (blade).
